Fin mai dans le cadre d’une présentation des perspectives pour la politique de l’eau à la commission du développement durable de l’Assemblée Nationale, Delphine Batho, alors ministre de l’écologie, a précisé : « Je crois beaucoup à l’agroforesteriec’est une évolution des pratiques agricoles que nous devons encourager ». Un mois auparavant, au  Conseil économique, social et environnemental (Cese), sur la question de la gestion et l’usage de l’eau en agriculture, plusieurs propositions ont été émises, parmi lesquelles une priorité donnée à l’agroforesterie sur les secteurs de captage en eau potable.

L’arbre au cœur des champs est maintenant bien à l’esprit des politiques publiques comme un moyen face aux enjeux environnementaux sur l’eau, le sol, l’air, l’énergie,  la biodiversité et la lutte contre le changement climatique.

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